L"enlevement de kajira

A la tombée du jour, kajira se reveilla et s'étira langoureusement heureuse d'avoir enfin pu dormir
d'un sommeil réparateur.La nuit précédente les bruits dans la ruelle et les pas pesant des guardes l'avait empecher de dormir, elle se souvenait brievement s'avoir prélasser entre les bras de Barath qui avait ete blessé en revenant de sa promenade, Elle avait pris soin de nettoyer la plaie et de lui faire promettre de ne plus partir sans avertir quiconque.
Le sourire aux levre et la faim la tenaillant, elle se dirigea vers le garde manger et s'appercu qu'il etait completement vide, lachant un soupir de dépit elle décidat d'aller se repetre chez le Tavernier du coin non loin de chez elle. Sa bonne humeur et sa boustifaille sera les bienvenue.
Elle sortit le coeur léger, ses dagues dans ses fourreaux et son sac a dos bien léger sur ses épaules, elle en profitera comme toujours pour écrire quelque poemes et peut etre aussi ses pensées secrete.

Arrivant devant la taverne elle poussa la porte et s'écria
Malsoir Mr le Tavernier!, jai une faim de meulou reste t-il quuelques bouftous grillé ou une belle carpe bien dodue a me mettre sous la dent?

Oh Bonsoir Mamzelle! sa fais un moment que vous n'etes pas venue vous repetre dans ma merveilleuse Taverne!
prenez place a cette table et je vous sert illico. Vous semblez avoir faim oh oui oh oui! et une carpeee pour la Mamzelle vous men direz des nouvelles!

Le Tavernier prit son tablier et se frotta les mains heureux de faire quelques kamas , ce qui terminera sa journée qui fut assez calme aujourdhui.
Elle prit place tout pres de la fenetre adjacent a la porte d'entrée, elle déposa son sac a dos a cote du petit tabouret et fouilla pour en sortir une plume de piou bleu,de l'encre noir et un parchemin intact.Elle prit place, déroulant le parchemin sur la table et commencat a écrire quelques mots.

La porte s'ouvrit doucement, le vent entra léger qui fit valser légerement la cape de kajira. Ne prenant soin de lever les yeux elle continua son écriture, réfléchissant a ce quelle voulait écrire et qui serait interessant a faire lire aux amis du coin.
tout en continuant son écriture elle sentit un coup sur sa nuque, des étoiles danserent devant elle et sans meme pouvoir faire quoi que ce soit, elle perdit connaissance.

Le tavernier entendit un bruit sourd parmis les crépitement du poisson qui achevait sa cuisson dans la grande marmitte.
Soulevant la carpe bien cuite, il la glissa dans une assiette et revint sifflant joyeusement vers la salle a manger. d'un coup de pied solide la porte
grincat et s'ouvrit devant lui. Sortant de derriere le comptoir, Un homme l'empoignat et le bousculat. L'assiete tomba au sol et se fracassat en mille morceaux.

Décontenancer par le choc, il vit a l'autre bout de la piece un autre Homme prendre kajira sur son épaule , lui arracher son colier et le lancer a lautre homme devant lui.puis disparru prestement dans la ruelle. Le tavernier hors de lui cria:

Arreter! mais quest-ce que vous faites, lachez la!

Les deux Homme fonca sur lui et le roua de coups de pied puis planta dans sa cuisse une dague rouilée, satisfait, ils partirent en riant bruyamment .
L'un d'eux prit la dague que kajira avait fait tomber son colier et un parchemin entammé, il planta la dague sur une poutre le colier attacher autour de son manche qui fit tenir le parchemin devant la porte et partit.

Après avoir entendu des rumeurs filant aussi vite que le vent, Barath se dirigea vers la fameuse taverne où s'était produit un drame. Avançant d'un pas sur, il regarda le regroupement devant la taverne. Main sur le manche de son épée, il progressa au milieu de la foule sans trop de difficulté et s'arrêta, regardant le message reconnaissant le collier. Ne cherchant pas à en savoir plus, il retira la dague, le parchemin et le collier et entra dans la taverne malgré le mécontentement des gens regrouper, il s'arrêta et les fixa, son regard dissimuler par l'ombre de son solomonk provoqua un silence glacial dans la foule qui s'éloigna rapidement de la zone.

Entrant dans la taverne, le Crâ regarda autour de lui et se dirigea vers les médecins qui s'occuper du tavernier.
- Vous ne pouvez pas approcher Monsieur, il faut lui laisser le temps de récupérer, je vous demanderez donc de partir d'ici sur le champ sinon je serais obliger d'appeler la garde.
Ne voulant en savoir plus, Barath sortit de la taverne et regarda le parchemin dans sa poche avant de se diriger vers l'enclo des Hochburg où il le lirait en paix et donnerait l'alerte aux autres...

Au gré des vents du nord, mon ame se perd et s'échoue dans le fjor.
Nul autre vie nul autre envie, celle d'etre a sa mercie.


A qui de droit.

Nous tenos votre amie entre nos mains, il serait préférable de s'abstenir de jouer les héros.
Si Vous tenez a elle ne tentez rien d'éroique si non sa vie se terminera aussi surrement que le soleil se levant au lever du jour.


p/s Vous aurez de nos nouvelles bientot. (Inconnu)

Barath resta silencieux en lisant le message. Il souffla et croisa les bras avant de poser son front sur ses bras. Il réfléchis sur la situation et posa le message sur la table de la maison. Le Crâ mit les mains dans sa tunique et partit de la maison, disparaissant dans une des nombreuses ruelle sombre de la cité.
- La partie commence... et ils ont commencé en choisissant la mauvaise cible... ca va être dur de ne pas attirer l'attention...
Barath s'arrêta et regarda le ciel étoiler quelques secondes en silence avant de regarder devant lui et s'éloigner dans l'ombre...

Badrok marchait tranquillement dans les rues de Brakmâr, les mains dans les poches et en sifflotant comme d'habitude. Il avait enfin réussi à s'échapper de l'infecte prison de la milice, pas si dur que ça le garde pionçais à longueur de journée. Alors qu'il s'engageait vers la rue menant à la maison d'Hochburg, un groupe de grades accouru dans sa direction. Par reflex, Badrok se colla au mur le plus proche et arrêta sa respiration...
"Quel abruti ! Ils vont m'choper là c'est sûr !" pesta-t-il entre ses dents.
Mais le bataillon passa devant lui au pas de course sans même le remarquer.
"Houla ! Y s'passe quequ'chose de pas normal ici..."
Badrok resta un moment dans la pénombre du mur, pensif. La maison Hochburg n'était qu'a quelques mètres...Le jeune Sacrieur s'apprêtais à sortir de sa cachette quand un individu se glissa devant la porte de la maison et y placarda un parchemin et disparaître dans une ruelle adjacente. N'écoutant que son courage (enfin surtout sa curiosité...) Badrok se lança sur les traces du mystérieux individu. L'homme avançais rapidement et avec agilité alors que Badrok, s'étant enfilé quelques bières bwork auparavant avais du mal à tenir la cadence.
Soudain, l'individu s'arrêta devans une taverne et se cacha derrière un arbre. Le Sacrieur en profita pour détailler l'inconnu : Il était enroulé dans un veste à capuchon noir, de moyenne taille, une dague brillait à sa ceinture, on en voyais dépasser que ses mains gantées, qu'il frottait l'une contre l'autre visiblement content du spectacle qui s'offrait devant lui. Badrok porta alors son attention sur ce qu'admirrais l'étranger, et il en resta bouche bée : une foule inimaginable se bouscule vers l'entrée de la teverne, foule contenue tant bien que mal par les miliciens de la cité.
"Voila donc la raison de toute cette agitation !" cria-t-il sans s'en rendre compte.
Mais L'étranger se retourna vers lui et, se rendant compte qu'il avais été suivi, détalla à travers les ruelles les plus sombres possibles. Le jeune Sacrieur se lança à la poursuite de l'homme mais il était beaucoup trop rapide et Badrok le perdit quelques minutes plus tard...Se maudissant, il retourna à la maison d'Hochburg afin de lire le parchemin.
"Hum...Un enlèvement sans demande de rançon...Ils n'ont pourtant pas eu l'air d'amateurs...L'amie en question dans la lettre est sans aucun doûte Kaji..."
Pris de colère, Badrok tira bruyamment son épée, puis se ravisa...
"Mieux vaut attendre l'avis d'Yzentar avant de prendre une quelconque décision..."

Il courru et courru a travers les rues de Brakmar, son coli bien a l'abri sur ses épaules. Il franchit tout brakmar a pied replacant l'écaflip qui glissait au fur et a mesure quIl courrait. Au bout d'un moment, il du la laisser glisser a ses pied pour reprendre son souffle. Il prit la peine de l'entourer de sa cape a capuchon et la laissa la un instant.

Il sortit de son sac une petite fiole et en déboucha le contenu, doucement il prit la tete de l'écaflip qui commencait doucement a revenir a elle. prestement il lui fit ouvrir la bouche et lui glissa le liquide ambré entre les levres. Elle tousseotta et essaya de recracher .Il lui en fit boire un peu plus que la prescription permise, mais se dit que ce ne devait pas etre tres grave. Avec un léger rale l'écaflip perdit conscience et devint aussi mole qu'une poupée .
L'homme pesta et prit son poul pour s'assurer quelle était encore vivante, la pulsation était lente et meme a peine perceptible.
Il espéra dans son fort intérieur qu'elle tiendra le coup car si ce n'était pas le cas, il serait véritablement en mauvaise posture.
Il siffla et vit sa monture s'approcher, il prit l'écaflip dans ses bras et la monta avec lui sur la dragodinde. Il la fit passer devant lui et la serra fortement a lui puis se mit en route.

Au meme moment, des passant trouverent un sac et une fiole ouverte qui avait ete laisser au sol tout pres de l'atelier des forgerons. l'un d'eux souleva le sac et fouilla dedans. Ce qu'il découvrit le laissa sans voix, a l'intérieur il vit une lettre cacheter et sur elle etait inscrit.

Hochburg spirith of Gor

Il courru aussi vite que ses jambes le lui permettait et déboucha a la maison de Brakmar. Il cogna a la porte mais ne recu aucune réponse, il glissa la lettre sous la porte et parti.




La chevauchée fut longue, pressant le pas il abouttit a la porte de son repere, il descendit et fit descendre l'écaflip quil garda dans ses bras.Il cogna fit le code prévu et la porte s'ouvrit.
Une voix sinistre lui dit:
AHHHHHHHHHHH! enfin te voila cest pas trop tot. Deux mains empoigna fortement le fardeau de l'homme et le laissa choir au sol.l'écaflip tomba raide sur la pierre et resta inerte.
Elle fut trainer une dixaine de Metre sans aucune compassion ni bienveillance.

Lhomme qui l'avait capturer regardait la scene et se dit quil n'aurait jamais du participer a cette mascarade. Elevant la voix il jura puis parti en claquant la porte.

Elle fut mise dans un cachot froid et humide laisser seule a la mercie de son Geolier.

A qui de Droit:

LA RANCON S'ÉLEVERA A 10 000 KAMAS. NOUS FERONS L'ÉCHANGE SUR LE PONT LA OU LE FLEUVE REGORGE DE POISSONS.

VENEZ SEUL ET NON ARMÉ.




Signé (inconnu)

Barath regarda le rançon demander en silence.
- 10 000 kamas... et non armé... intéressant
Le Crâ laissa ses armes à la maison et se mit à la recherche du dit point d'échange.

Yzentar, du haut des cornes de la très haute maison de la guilde observait les allées et venues depuis déjà deux jours, lorsqu'il vit Barath partir au loin et n'eut aucunes nouvelles de kajira, qui souvent traine avec lui près des enclos.

L'heure était grave et entre deux recrutements et un million de parchemins, il ruminait la perte de sa kajira en tâchant de garder son calme, ce calme que non seulement un clan en entier réclâmait de lui mais en plus, celui qui gronde l'inquiétude de ses hommes, son orgeuil pour les siens.

Lorsqu'il réfléchissait, sa colère montait en lui. Ses souvenirs d'un temps ou les kajirae autour de lui étaient attachées le soir pour la nuit se faisaient la baguarre dans sa tête pour occuper ses songes, ses soupires, ses soucils.

- " Pourquoi ais-je oublié les chaînes dans ce sous-sol miteux qui lui serre de maison... je le sais bien pourtant qu'elle est she-larl..." se répètait-il en râlant, sur sa corne magistrale.

Lorsqu'il fut décidé, il descendit, mangea rapidement, ferma les portes et installa une chaine minuscule, boulonnée dans le sol du dortoir de brakmar, loin de la maison qui lui servait de remise. Il s'équipa et couru vers les forges de la guilde.

Il était venu vérifier le tout, découvrir par ou elle s'était enfuie sans qu'il le sache, tester la serrure de la porte, celle des coffres de la petite boule de poil qu'il regrettait déja avant de passer le cadre de la porte. Avant même d'avoir eu le temps de faire tout ca, il lit la lettre qui était sur le sol et l'écrasa en une boule minuscule dans sa main qui se refermait jusqu'à bloquer le sang qui la faisait se mouvoir.

<< Dix milles malheureux kamas.......... >> se disait-il dans sa tête. C'est en ricanant tout bas et en s'assoyant dans la pièce, qu'il pensa à son plan. Il s'appuya sur l'enclûme pour écrire une lettre sur un parchemin spécial. Un parchemin que seul le Ubar possédait, qui brillait d'une couleur bleue, comme s'il avait été fait à partir de la pâte de papier d'oliviolet. Un parchemin qui ne pouvait être adressé qu'à son bras droit.

" Barath,

comme tu as vu quelques petits voyous ont trouvé le moyen de s'emparer de notre bien le plus précieux; kajira. Je vais aller leur livrer les kamas, seul, habillé que de ma tunique. De toute facon même les boucles qui nouent ma cape a mon cou valent davantage que cette rancon ridicule... Ils auraient du venir me le demander que je leur aurait donné, profitons en pendant qu'ils ignorent encore la valeur de la kajira qu'ils viennent d'emprisonner.

Ma vie n'est qu'une illusion, puisque tu es là Barath. Surveille moi bien des yeux comme tu le fais depuis toujours, suis moi, et lorsque je repartirai avec notre douce chate sous le bras, tu sauras quoi faire de ces minables aux poches trouées.

Ton meneur n'a aucune pitié pour eux, montre leur. Je laisserai autant de petites pierres sur le pied de la porte en sortant, qu'il y a d'homme dans la pièce.

Ils sont à toi, soit mon bras.

PS : Je m'occupe du tavernier. "

Barath regarda le message en silence et laissa un sourire au coin naitre sur son visage.
- Ils auront les poches trouver aussi bien physiquement que oralement... et pas que les poches.
Sans dire un mot de plus, le Crâ récupéra ses meilleurs flèches et se posta sur le toit de la maison en silence.

Le vent, cet élément pourtant si imprévisible, celui qui pouvait rafraichir un lieu comme le détruire grâce à son souffle, le vent forçait Barath à redevenir lui même, revenir sur terre. Regardez les étoiles le soir seul avait donné un sentiment amère au Crâ, pourtant, il savait que cela ne serait que temporaire, le temps que Yzen se décide d'agir mais pour lui, un journée semblait devenir des mois, les heures des jours. En capturant Kajira, ils avaient capturé quelque chose de précieux à Barath : son temps et son contrôle de soi.

Le feu, tel est l'élément qu'il avait décidé qu'il utiliserait neutralisé à jamais ceux qui avait porté la main sur Kajira, il avait appris à le maitrisais, à le domptait... pourtant, le feu était devenu bien trop aléatoire depuis quelques jours, Barath se rendit compte que ceux qui avait capturé Kajira avait capturé bien plus que ça, il avait capturé son âme et non ses sentiments, il savait que les choses devait rapidement redevenir à sa place, avant de devenir lui même fou. Cette même folie qui l'avait frapper à son arrivé dans le pays d'Amakna.

La colère, la tristesse, la haine, voilà ce qui animé Barath sous son regard caché par l'ombre de son solomonk, il savait que lorsque Yzen aurait Kaji dans ses bras, il pourrait donner libre cour à tout ce qu'il retenait en lui depuis de nombreuse années, ses personnes devant pour le Crâ, allaient devenir les raisons de ses souffrances passés en leur mettant tout sur le dos et en s'en débarrassant, lui accorderait cette paix intérieur.

- Je suis prêt Yzen... à toi de jouer la première pièce...

Non loin d'ici et pendant ce temps, dans la place de l'hotel des ventes des ressources, une silhouette rosâtre semblait faire affaire avec d'autres aventuriers, échangeant sous cape kamas contre sachets de poudre blanche..
*Les affaires reprennent * Songea le personnage, économisant chacun de ses mouvements, chacune de ses paroles, et surtout chacun de ses kamas.

Seneru vogua en direction de Sufokia l'air inquiet, impatient de savoir ce qui pouvait bien ce passé de si terrible à Brakmar.

"- Hé papy ! Ton rafiot ne peut pas avancé plus vite ?!" Disa-t-il d'un ton colérique au vielle Enutrof.

Plus tôt dans la journée, Seneru était sur l'île d'otomaï, entrainant sans répit ça fille adoptive dans l'art du soutien et du combat, cela faisait quelques jours qu'ils étaient là, et Seneru n'avait aucunes nouvelle en provenance d'Hochburg depuis un bon moment.
"- Concentre toi un peu Henary, il faut que tu apprennes à te défendre seule sans moi pour aide....Imagine, si je viens à mourir, ou bien si je ne suis pas là un soir et que tu te fais attaquer par des bandits...C'est pour tous cela que je te demande de te concentrer et de me frapper le plus fort que tu puisse faire." Seneru ce remit en garde levant ça griffe rose en guise de bouclier et d'arme, quant à Henary elle posa ces fesses à même le sable.
"- Dis moi Seneru, ça fait combien de temps que l'on s'entraine comme ça. On peux pas faire une pose un peu ? S'il te plais...J'en peux plus." Seneru arriva près de Henary, enfonça son épée dans le sable et s'allongea tout en contemplant le ciel.
"- Ça faisait longtemps que l'on avaient pas vus un si beau ciel n'est-ce pas. À Brakmar il fait si sombre que l'on as pas l'habitude de regarder vers le haut...éhéh." À ces mots Henary regarda bizarrement Seneru.
"- Pourquoi tu me parle soudainement du ciel ?" En entendant la question de Henary il fit apparaitre un léger sourire, tout en contemplant le ciel.
"- Je ne sais pas, j'avais juste envi de le dire. Allez arête avec tes questions et repose toi avant que je décide d'y retourner." Henary s'allongea elle aussi pour voir ce que Seneru trouvait de si jolie au ciel. Il est vrai que le ciel était bien bleu et que le bruit des vagues avait son charme, mais elle était pas du genre à prêter attention à ces petits détailles bien insignifiants à ces yeux. Mais ce qu'Henary ne savait pas, c'est que Seneru venait de faire un rituelle bien précis, typique du clan Jay, visant à créée un souvenir de paix entre un père et son enfant. Plus tard Henary ce souviendra de ce moment bien précis, ou le ciel d'un doux bleu et les vagues caressant le sable n'apportaient nul autre que le calme, et la beauté, elle ce souviendra aussi de son père allonger sur le sable calme et paisible avec un petit sourire aux lèvres. Le père de Seneru n'avait pas eu le temps de faire ce rituelle, mais en regardant le ciel il savait que son regard croisait celui de son père, et c'est pour cela qu'il souriait.
"- Seneru? Oh, nom d'un Iop j'aurais jamais cru te croiser par ici !" Seneru ce releva et ce retourna d'un air surpris, il y aperçut un Iop assez âgé avec une fière allure.
"- Krogar ah ah ah comment ça va mon bon vieux Iop ? Ça faisait un bon bout de temps que je n't'avais pas vus! Alors, tu deviens quoi?" Le Iop lui expliqua longuement ces aventures, des batailles sanglante, des chasses victorieuse, de comment il avait reçu cette petite balafre au visage qu'il porte fièrement, puis il prit un aire plus sérieux.
"- Mais j'y pense d'un coup...Tu fais quoi ici à te prélassé sur le sable...Alors que j'ai entendus dire que la guilde dont tu porte l'étendard a des problèmes ? Enfin je n'connais pas tout en détaille mais d'après ce que j'ai entendus dire par les gardes en pause à la taverne de Brakmar ça avait l'air sérieux. T'as pas fuis le danger tout de même?!" Seneru pris au dépourvus n'en savait effectivement rien, il regarda un temps Henary qui ce demandait ce qu'il ce passait, puis Krogar. Pour finir il ramassa son épée au sol et la rangea.
"- Non je n'ai pas fuis, j'en savais rien pour être franc... Krogar, le navire qui ta déposer sur Otomaï est-il toujours là?" Krogar lui fit signe que oui d'un mouvement de la tête.
"- Bien! Krogar désolé d'écourter nos retrouvailles et de t'imposer ça mais j'te confie Henary le temps que je m'absente." Seneru ne chercha pas à recevoir de réponse de la part de krogar et ce dirigea rapidement au port d'Otomaï.
"- Ah ce Seneru!... toujours en retard d'une bataille celui là...Bien! Bah j'ai pas le choix, allez Henary en route!" Seneru arriva au port, et prit de justesse le navire qui avançait lentement...

"- Hé papy ! Ton rafiot ne peut pas avancé plus vite ?!" Disa-t-il d'un ton colérique au vielle Enutrof.
"À moins que tu ne sois un dieu, et que tu ordonne au vent d'allez plus vite, je n'peux rien y faire jeune homme..." Répondit l'enutrof. Seneru maudissait la lenteur de progression, il ne pouvait rien y faire, il fallait attendre que le vent ce lève pour allez plus vite.

Quelques heures plus tard, Seneru c'était endormis d'ennuis, et le vent ne c'était toujours pas levé.
"- EH...Le pressé paresseux...Si tu quitte pas mon navire rapidement je vais devoir te gardé à bord jusqu'à Otomaï...Oh!" L'Enutrof donna quelques coup de pied à Seneru qui avait apparemment le sommeil lourd. Malgré son air engourdi et les yeux fatigué Seneru ce releva rapidement, chevaucha ça dragodinde et engagea à toute allure le trajet Sufokia Brakmar. Durant le trajet il fit de nombreuses fois retardé par les dragoeuf avançant prudemment dans leurs repère, puis, vint le tour des chafer, qui lui posèrent toute fois un peu moins de problèmes, et fit rapidement arriver à destination, la porte est de Brakmar. Arriver quelques temps après devant la porte de la maison Hochburg, Seneru y entra, ça fatigue lui faisait de plus en plus défaut et ces yeux ce fermaient tout seul, il n'y avait strictement personne dans la maison, un silence très familier le rendait très mal à l'aise. C'est en avançant un peu qu'il heurta avec le pied un bout de papier chiffonné rageusement, en le dépliant soigneusement, Seneru comprit ce qu'il ce passait. Un membre de la guilde avait été enlevé, mais qui ? Et surtout par qui ? En relisant le message il remarqua toute fois une certaine familiarité à propos de la demande de rançon, le premier nom qu'il ce mit à pensé était Seytho(*) peut être qu'au final il ce trompait, en tout cas ça leurs ressemblais bien.

Seneru prit une chaise et s'assit dessus, tout en espérant croiser un membre des Hochburg pour avoir de plus amples explications sur la situation actuelle.



[ Seytho(*): Clan de brigand plus communément appelé "Clan Seytho" qui n'as ni devise ni honneur et aucunes fierté.La seul chose qu'ils les intéresses sont les kamas. Volé, piller, tuer, ravager des villes entières ne les déranges pas, tant qu'au bout il y a les kamas. Il sortit victorieux contre le clan Jay, (qui maintenant n'existe plus), grâce à la traitrise et la corruption, personnes ne sait réellement où ce trouve leurs repère mis à part leurs membres et ex-membres s'ils sont toujours en vie du moins.]

Commençant à perdre patience, voyant que Yzen mettait beaucoup trop de temps à se préparer à son goût, Barath attrapa son matériel et se dirigea vers le point de rendez vous en laissant pour unique message sur la table de la maison, ce qu'il allait faire.
Il savait qu'il risquerait gros mais il laissa ses armes à l'écart, dissimuler sachant que les personnes ne se montreraient jamais si il avait la moindre arme.

Le Crâ avança en silence au milieu du pont, croisa les bras et attendit que les choses se passe...

[HRP] Je relance un peu le sujet ça faisait un bout de temps qu'il dormait ^^[/HRP]


Quelques heures étaient passé depuis que Seneru était poster dans la maison, la fatigue avait eu raison de lui, et s'était endormi. Voyant qu'a son réveille il n'y avait toujours pas un seul mouvement dans la maison, il décida de prendre les choses comme ils se présentaient, il examina à nouveau le parchemin, l'endroit ou l'échange devait avoir lieux n'était pas inconnue de ça personne, cependant un autre parchemin était placer sur la table non loin de l'autre, c'était un message de la part de barath expliquant qu'il ce rendrait seul au lieux de rendez vous. Seneru ce mordilla la lèvre inférieure anxieusement tentant de réfléchir à un plant de secoure, il frappa du poing la table et ce résigna à réfléchir trop longtemps, il fallait agir et ce rapidement. Il rangea son épée, ainsi que son arc, et partit en direction du point de rendez vous à dos de dragodinde. Une heure plus tard, Seneru arriva à destination laissant derrière lui ça dragodinde pour rester le plus discret possible, il faisait nuit et il ne distinguait pas grand choses, mais assez pour décrire une silhouette sombre sur le pont, il tenta alors de s'en approcher tout en gardant ces distances, cacher derrière plusieurs arbres il pouvait à présent reconnaitre Barath. Mais comment lui signalé ça présence sans attiré l'attention...Tout bien réfléchis, il décida de rester dans l'ombre en simple soutien si les choses ce gâtes. Non loin de là Seneru aperçu une autre silhouette sombre ce dirigeant vers barath.